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Coronavirus

Mots-clés : Coronavirus

Suite au Comité de concertation du 27 novembre 2020, de nouvelles mesures entrent en vigueur le 1er décembre. L’arrêté ministériel du 28 novembre 2020 modifie l’arrêté ministériel du 28 octobre dernier. Voici un résumé des nouvelles mesures applicables dans notre secteur.

 

Les nouvelles règles qui ont un impact sur les secteurs sportif et socioculturel sont les suivantes :


1. Réouverture des piscines
Les piscines peuvent rouvrir au public, à l'exclusion des parties récréatives et des piscines subtropicales.

Les patinoires, salles de sport et salles de fitness restent fermées.

2. Réouverture des musées
Les musées peuvent rouvrir au public.
« Sont considérés comme « musées » :
- les structures reconnues comme musées ou comme centres d'art par au moins une de ces entités : le gouvernement fédéral ou une entité fédérée ;
- les institutions permanentes au service de la société et de son développement, ouvertes au public, qui acquierent, conservent, étudient, transmettent et/ou exposent le patrimoine matériel et immatériel de l'humanité et son environnement, à des fins d'étude, d'éducation et de délectation par le biais d'expositions, d'activités pour le public et de publications scientifiques ou de vulgarisation, toutes réalisées par des professionnels. »
 
Tous les autres établissements appartenant au secteur culturel (cinémas, théâtres, salles de spectacle…) restent fermés.
 
3. Réouverture des commerces non essentiels

Les entreprises et associations offrant des biens aux consommateurs peuvent rouvrir au public dans le respect d'un protocole strict (shopping individuel, 30 minutes maximum, un client par 10m2, port du masque obligatoire, gel désinfectant…).

Les commerces de contact (coiffeurs, centres esthétiques, massages, bien-être…) restent fermés.

Ces mesures entrent en vigueur le 1er décembre. Les autres mesures en vigueur depuis le 29 octobre et le 2 novembre restent applicables et notamment celles qui concernent :

Le télétravail obligatoire, pour les fonctions qui s’y prêtent et dans le respect de la continuité de la gestion des entreprises et organisations, services et activités.

Les rassemblements qui restent limités à 4 personnes, sans tenir compte des enfants de moins de 12 ans. Les contacts rapprochés sont limités à une même personne par membre du ménage à la fois par période de 6 semaines.

La fermeture des établissements ou parties des établissements relevant des secteurs culturel, festif, sportif, récréatif et évènementiel et de l'horeca.
 


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13-01-2021 - 568 lectures

Mots-clés : Cotisations sociales, Coronavirus

Une première série de nouvelles mesures de soutien aux secteurs contraints de fermer à la suite de mesures sanitaires destinées à ralentir la propagation du COVID-19 a été approuvée ce jeudi 19 novembre. Parmi celles-ci, 2 mesures visent à réduire le poids des cotisations sociales pour les employeurs touchés par la fermeture obligatoire de leur entreprise ou gravement touchés.

Les mesures votées ce jeudi 19 novembre 2020 portent sur une prime équivalente aux cotisations ONSS du premier trimestre ou, pour les associations qui ne peuvent pas en bénéficier, sur un plan de paiement à l'amiable.

Prime de compensation des cotisations patronales du troisième trimestre 2020

Cette mesure consiste en l’octroi d’une prime correspondant aux cotisations sociales patronales de base nettes et à la cotisation employeur de solidarité pour les étudiants pour le premier trimestre 2020 et entrera en vigueur avec effet rétroactif le 15 novembre.

Calcul de la prime

La prime est calculée en deux étapes :

  • Une prime provisoire, calculée sur la base des déclarations relatives au premier trimestre 2020, est octroyée. L'ONSS tient compte des données déclarées en date du 16 novembre 2020.
  • Lorsque les déclarations du troisième trimestre auront été traitées par l’ONSS, les cotisations relatives à ce trimestre seront comparées au montant de la prime provisoire.
    • Si les cotisations du troisième trimestre sont moins élevées que le montant de la prime provisoire basée sur le premier trimestre, l'employeur conservera la différence.
    • Si les cotisations du troisième trimestre sont plus élevées que le montant de la prime provisoire basées sur le premier trimestre, la prime permettra de compenser le solde dû pour le troisième trimestre.

La prime prendra en compte les cotisations sociales employeur de base nettes c'est-à-dire :

  • La cotisation de base incluant la cotisation de modération salariale
  • Diminuée des réductions structurelles et des réductions pour les groupes cibles
  • Augmentée du montant de la cotisation sociale employeur de solidarité due pour les étudiants au cours du premier trimestre 2020.

La prime définitive sera calculée en janvier 2021. Même si l'employeur n'est pas redevable de cotisations ONSS au troisième trimestre 2020 parce que tout son personnel était en chômage temporaire, il aura droit au montant de la prime provisoire.

Les employeurs qui n'étaient pas encore actifs au cours du premier trimestre 2020 ne sont pris en compte que pour le calcul de la prime définitive.

Pour plus d’information concernant le calcul de la prime, consultez le site de l’ONSS.

Procédures d’octroi de la prime

L'ONSS calculera le montant de la prime provisoire dans le courant du mois de novembre. Les employeurs seront informés via un message dans l’eBox de la hauteur de la prime. Les employeurs qui n’auraient pas encore activé leur e-Box ont encore l’occasion de le faire.

Cette prime est utilisée d'abord pour payer les dettes restantes du troisième trimestre et ensuite les autres montants dus (la dette la plus ancienne en premier).

S'il reste encore un montant, l'employeur peut en demander le paiement. Ce n'est pas obligatoire – tout solde restant peut également être conservé et sera alors automatiquement utilisé pour payer les prochains montants dus à l'ONSS.

Employeurs concernés

La prime est octroyée aux employeurs du secteur privé contraints à la fermeture en raison des arrêtés ministériels du 28 octobre et du 1er novembre 2020.

L’ONSS détermine l’éligibilité des entreprises sur base de leur code NACE. À ce titre, une liste des codes NACE couverts par cette mesure a été publiée sur leur site internet et les employeurs peuvent également vérifier eux-mêmes leur éligibilité via le service en ligne Check compensation ONSS.

Les employeurs qui ne sont pas éligibles selon le service en ligne/leur code NACE mais qui estiment pouvoir bénéficier de la prime sont invités à :

  • Remplir le formulaire en ligne de demande d’éligibilité à l’ONSS ;
  • Vérifier si le code NACE sous lequel ils sont référencés est bien correct et, éventuellement, prendre contact avec l’ONSS pour en changer (Pour plus d’information sur les codes NACE et les possibilités de modification, nous vous invitons à consulter la page suivante) ;
  • Contacter leur fédération patronale pour rendre compte des problèmes d’interprétation de l’ONEm ou de référencement des codes NACE.

MAJ du 7 janvier 2021: Fournisseurs d'entreprises actives dans les secteurs fermés

Afin d'atténuer les conséquences financières de la crise du coronavirus, le gouvernement a également mis en place un régime de compensation grâce auquel une prime de compensation est octroyée aux fournisseurs des entreprises contraintes à la fermeture. La prime correspond au montant des cotisations patronales de base nettes dues et de la cotisation patronale de solidarité due pour les étudiants au premier ou au troisième trimestre 2020, le plus élevé des deux montants étant accordé. Pour plus d'informations, nous vous invitons à consulter la page suivante.

Plan de paiement amiable

Pour les employeurs qui ne sont pas éligibles à la prime de compensation, un plan de règlement à l'amiable des cotisations de sécurité sociale a été prévu.

Cette mesure s’applique :

  • à tous les employeurs
    • qui connaissent de graves difficultés économiques en raison de la crise sanitaire actuelle et
    • qui en font la demande auprès de l’ONSS
  • avant toute procédure judiciaire et tout autre plan de paiement amiable préalable
  • pour cotisations ONSS pour les troisième et quatrième trimestres 2020 et aux corrections et cotisations dues jusqu’au 28 février 2021.

Si l'employeur respecte strictement les conditions de paiement, les suppléments de cotisation, les indemnités forfaitaires éventuelles, les avances et les intérêts de retard ne seront pas facturés. L'indemnité forfaitaire qu'un employeur doit payer lorsqu'il ne verse pas les avances trimestrielles expire avec ce plan de versement des cotisations ONSS du troisième et quatrième trimestre de 2020.

Sont exclues les cotisations que l'ONSS a établies d'office lorsque l'employeur n'a pas fait de déclaration ou a fait une déclaration incomplète/incorrecte pour les troisième et quatrième trimestres 2020 – dans ce cas, l'employeur ne recevra pas de plan de paiement amiable.

Cette mesure prendra effet rétroactivement au 1er juillet 2020. Le plan de paiement amiable pourra être demandé via le site de l’ONSS.

Pour plus d’information, consultez la page Mesures de soutien en matière de sécurité sociale (ONSS) sur notre zone COVID, qui sera mise à jour dès publication de la Loi.


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04-02-2021 - 998 lectures

Mots-clés : Subvention, Coronavirus, APE

Le gouvernement wallon avait mis en place dès avril 2020 une série de mesures exceptionnelles relatives au fonctionnement du dispositif APE dans le cadre du confinement. Même si ce dernier a pris une forme différente, on sait à quel point le fonctionnement des associations est perturbé par les mesures prises en vue de diminuer la propagation de la COVID-19. C'est pourquoi le gouvernement wallon a décidé de réactiver les mesures prises en avril.

Le Gouvernement wallon a pris, ce 13-11-2020, un arrêté de pouvoirs spéciaux relatif à diverses mesures sur l'emploi, la formation et l'économie sociale. Cet arrêté réactive certaines mesures déjà prises en avril dernier dans le cadre du dispositif APE.

  • Le calcul temporaire de la subvention mensuelle APE pour les mois d'octobre 2020 à mars 2021 correspond à nouveau à une avance qui sera versée dans les délais habituels à hauteur du nombre de points promérités pour chacun des mois multiplié par le taux moyen de subventionnement des employeurs du secteur non marchand en 2019, soit 92%. Ce qui donne : (nombre de points promérités par ETP par an X régime de travail X 92%) / 12.
    • Ce ne sont donc plus les états de salaire qui guident le calcul de l'avance mensuelle suivante (ce qui ne vous dispense pas de les envoyer !).
    • À l'issue de la période de crise, le FOREm effectuera le calcul réel de la subvention sur base des états de salaire; une compensation ou un versement supplémentaire du FOREm viendront ajuster le calcul des avances aux subventions réellement dues.
  • L'arrêté prévoit durant la même période la suspension de l'obligation du maintien du volume global de l'emploi par rapport à l'effectif de référence.
  • Il confirme la suspension de l'obligation de respecter la fonction décrite dans la décision pendant ces mois de crise.
  • Enfin, les délais de rigueur sont suspendus durant la période.
21-10-2024 - 591 lectures

Mots-clés : Étudiant, Coronavirus

Suite à la pandémie de COVID-19, les secteurs des soins de santé et de l'enseignement ont grand besoin d'aide. Les étudiants pourraient venir en renfort pour les épauler.

Les étudiants bénéficient d'un solde de 475 heures (« contingent ») pour chaque année civile. Pour ces 475 heures, ils paient moins de cotisations sociales qu’un travailleur normal.

Pour les étudiants qui viennent apporter leur aide dans le secteur des soins de santé et de l'enseignement, la loi du 4 novembre 2020 portant diverses mesures sociales suite à la pandémie de COVID-19 prévoit que les heures prestées dans ces secteurs pendant le quatrième trimestre 2020 et le premier trimestre 2021 ne seront pas prise en compte dans le quota des 475 heures.

En vertu de la loi du 20 décembre 2020, cette possibilité étendue de travail des étudiants s’appliquera également aux étudiants qui travaillent comme intérimaires. Les heures de travail d’étudiants effectuées en tant que intérimaire dans le secteur des soins et de l’éducation lors du quatrième trimestre 2020 et du premier trimestre 2021 ne seront pas non plus prises en compte pour le quota annuel de 475 heures.

Elles ne seront donc pas soumises aux cotisations de sécurité sociale « ordinaires ».

Le secteur des soins recouvre :
les commissions paritaires 318, 319, 330, 331 et 332, et
les institutions publiques de soins (codes NACE 86101, 86102, 86103, 86104, 86109, 86210, 86901, 86903, 86904, 86905, 86906, 86909, 87101, 87109 et 87901).
Le Roi peut compléter cette liste.
 
Cette mesure a un effet indirect dans notre secteur dans la mesure où les heures prestées dans les soins de santé ou l'enseignement n'auront pas d'impact sur le calcul des heures que les étudiants peuvent prester dans nos secteurs.
 
Par ailleurs, aucun précompte professionnel n’est dû sur les rémunérations payées à partir du 1er octobre 2020 pour le travail étudiant dans les secteurs des soins et de l’enseignement.
 
Les mesures ont un effet rétroactif à partir du 1er octobre 2020 et jusqu'au 1er avril 2021. Une prolongation de ces mesures est possible.

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04-11-2021 - 620 lectures

Mots-clés : Coronavirus

Le Gouvernement fédéral a annoncé la réouverture du chômage temporaire pour force majeure liée au COVID-19 à toutes les entreprises et à tous les travailleurs ainsi que le maintien des mesures dérogatoires toujours en vigueur pour les entreprises et secteurs particulièrement touchés. En outre, il est prévu une nouvelle hypothèse dans laquelle il est possible de recourir à ce régime particulier de chômage temporaire.

Les mesures suivantes ont d’ores et déjà été communiquées sur le site de l’ONEm :

1. Réouverture du chômage temporaire pour force majeure liée au COVID-19

Pour rappel, depuis le 1er septembre, seuls les entreprises ou secteurs particulièrement touchés (parmi lesquels le secteur socioculturel et sportif) pouvaient recourir au régime de chômage temporaire pour force majeure liée au COVID-19. Cette condition est désormais supprimée, ce qui permet à toutes les entreprises et tous les travailleurs d’y avoir recours, comme entre le 13 mars et le 31 août.

Pour plus d’information, consultez la page COVID-19 – Chômage temporaire - Conditions d’application et délais.

2. Maintien des mesures dérogatoires en vigueur

Les mêmes conditions d’application et mesures dérogatoires en matière de procédures administratives restent applicables. L’allocation de chômage est maintenue à 70% du salaire plafonné (à 2 754,75 € par mois) avec un supplément de 5,63 € par jour de chômage temporaire, versé par l'ONEm. Jusqu'au 31 mars 2021, le précompte professionnel sur l’allocation est réduit à 15 %.

Pour plus d’information, consultez la page COVID-19 – Chômage temporaire – Procédures et Rémunération.

3. Nouvelle hypothèse de recours au chômage temporaire pour force majeure liée au COVID-19

Le Gouvernement prévoit une nouvelle possibilité de recours au chômage temporaire pour force majeure dans le chef du travailleur qui doit s’absenter du travail pour garder un enfant qui est malade ou en quarantaine. Cette hypothèse vient s’ajouter à la possibilité de recours en cas de fermeture d’école, de crèche ou de centre d’accueil (sur base d’une attestation de fermeture de la classe ou de l’établissement ou de la décision de fermeture d’une communauté). Des précisions doivent encore être apportées quant aux documents à remettre à l’employeur et à l’ONEm dans le cadre de ce nouveau cas d’application.

Pour plus d’information, consultez la page COVID-19 – Organisation du travail – Garde d’enfant et fermeture d’école ou de crèche.

L'arrêté royal du 22 décembre 2020 qui prévoit ces mesures a été publié le 11 janvier 2021. Ces mesures prennent effet rétroactivement à partir du 1er octobre 2020 et s'appliqueront jusqu'au 31 mars 2021. La situation sera réévaluée au début de l'année prochaine.


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04-11-2021 - 386 lectures

Mots-clés : Coronavirus

Le 30 octobre dernier, une version du "Guide générique pour lutter contre la propgation du COVID-19 au travail" mise à jour pour tenir compte de l'évolution de la situation sanitaire a été validée. Cet outil a pour vocation de guider les employeurs dans l'organisation du travail sur les lieux de travail.

Le Guide générique pour lutter contre la propagation du COVID-19 au travail a été rédigé pour la première fois en mai 2020 par les partenaires sociaux du Conseil supérieur pour la prévention et la protection au travail, en concertation avec la Cellule stratégique de la ministre de l’Emploi et des experts du SPF Emploi. Initialement prévu pour soutenir les employeurs dans le processus de retour sur les lieux de travail, cette nouvelle version :

  • tient compte des nouvelles connaissances du terrain ;
  • est adaptée à l'actualité récente : la version initiale du guide générique était principalement conçue comme un outil pour aider les entreprises non-essentielles lors de la reprise de leurs activités ; la nouvelle version vise à aider toutes les entreprises pour continuer à travailler en sécurité, malgré l’existence de la pandémie ;
  • apporte certaines précisions et accentuer davantage certains éléments.

Pour rappel, à l'heure d'écrire ces lignes, le télétravail reste la règle, pour les fonctions qui s’y prêtent et dans le respect de la continuité de la gestion des entreprises et organisations, services et activités. Certains travailleurs peuvent néanmoins être amenés à travailler sur le lieu de travail dans 2 cas de figure :

  • Leur fonction ne se prête pas au télétravail OU
  • Ils sont employés dans une entreprise ou une association reconnue comme nécessaire à la protection des besoins vitaux de la Nation et des besoins de la population dans iste exhaustive prévue en annexe de l'Arrêté ministériel. 

Les employeurs qui organisent - pour ces catégories de travailleurs - le travail en présentiel doivent prendre des mesures de prévention appropriées, en vue de garantir les règles de distanciation sociale afin d’offrir un niveau de protection maximal. Ces mesures de prévention sont énoncées dans le Guide générique pour lutter contre le COVID-19 au travail, qui a vocation à être adapté à la situation particulière de chaque employeur.

Pour plus d'informations quant à l'organisation du travail en présentiel, consultez la page "Travail en présentiel" sur la Zone COVID-19.


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Fichiers :

04-01-2021 - 399 lectures

Mots-clés : Chômage temporaire, Coronavirus

Suite aux dernière décisions de la fédération Wallonie-Bruxelles et du Comité de concertation, les congés d'automne ont été prolongés ce qui implique une fermeture des écoles depuis le mercredi 28 octobre et jusqu'au 15 novembre inclus. Ces décisions de fermeture des écoles en raison d'une mesure prise pour limiter la propagation du COVID-19 permettent aux parents qui doivent s'absenter du travail pour garder un enfant d'avoir recours au chômage temporaire pour force majeure. (MàJ 03-11-2020)

Comme nous vous en informions dans une précédente actualité, du 1er octobre 2020 au 31 décembre 2020 inclus, les travailleurs qui se trouvent soudainement confrontés à une fermeture d'école ou de crèche et sont dans l'impossibilité de travailler afin de s’occuper d'un enfant peuvent faire appel au régime de chômage temporaire pour force majeure.

Dans ce cadre, la décision d’une Communauté d’avancer ou de prolonger les congés d’automne est considérée comme une fermeture d’école en raison d’une mesure visant à limiter la propagation du coronavirus. Les travailleurs qui sont confrontés à une situation de fermeture d’école en marge des congés d’automne et doivent s’absenter du travail pour garder un enfant peuvent avoir recours au chômage temporaire pour force majeure.

Pour rappel :

Ce droit n’est pas soumis à l’accord de l’employeur et il ouvre le droit au payement par l’ONEm d’indemnités pour chômage temporaire pour force majeure (70% du salaire brut plafonné + 5,63 €/jour) avec effet immédiat au moment de la notification. Il est possible d’y avoir pendant toute la durée de la fermeture, à plusieurs reprises si des décisions de fermeture devaient se répéter.

En tant que secteur particulièrement touché par la crise, le secteur socio-culturel peut encore avoir recours à la procédure simplifiée en matière de chômage temporaire pour cas de force majeure.
Cela implique qu’employeur et travailleur devront suivre la procédure suivante :

  1. Le travailleur informe immédiatement l’employeur de la fermeture de l’école ou de la crèche et son impossibilité de travailler et présente à l’employeur l’attestation de fermeture Corona, préalablement remplie par l’établissement qui fait l’objet de la fermeture.
  2. L’employeur (du secteur socioculturel) complète à la fin du mois les heures prestées et les heures chômées dans le formulaire DRS Scénario 5 et tient à disposition de l’ONEm (sur demande) l’attestation de fermeture transmise par le travailleur.

NB : L’employeur (du secteur socioculturel) ne doit donc pas :

  • Envoyer de communication à l’ONEM pour les informer du recours au chômage pour force majeure
  • Envoyer l’attestation de fermeture d’établissement à l’ONEm.
  • Délivrer de carte de contrôle C3.2A au travailleur 

! ATTENTION !

  1. Le secteur socioculturel et sportif est reconnu comme « secteur particulièrement touché ». A ce titre, ils bénéficient de règles dérogatoires pour l’application du chômage temporaire pour force majeure. Les employeurs qui ne sont pas reconnus comme entreprise particulièrement touchée ou qui ne font pas partie d’un secteur particulièrement touché doivent suivre des règles administratives particulières qui sont détaillées sur le site de l’ONEm et que nous vous invitons à consulter si vous êtes concernés.
  2. L’employeur ne peut refuser le recours au chômage temporaire si le travailleur répond aux conditions pour y avoir recours. Il peut cependant lui proposer divers aménagements et notamment la modification de ses horaires de travail ou le recours au télétravail.

Les règles du recours au chômage temporaire en cas de fermeture d’école ou de crèche s’appliquent de la même panière pour l’allongement des congés d’automne. Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter :


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24-11-2020 - 692 lectures

Mots-clés : Coronavirus

Dans un effort d'harmonisation des mesures pour lutter contre la propagation du Covid-19 sur tout le territoire belge, l'Etat fédéral a pris un nouvel arrêté ministériel. Celui-ci est d'application à partir du 29 octobre 2020.
 

Voici les nouvelles règles fédérales qui ont un impact pour notre secteur :

1. Fermeture des établissements ou parties des établissements relevant des secteurs culturel, festif, sportif, récréatif et évènementiel

Les établissements ou les parties des établissements relevant des secteurs culturel, festif, sportif, récréatif et évènementiel sont fermés pour le public.en ce compris notamment:
1° les casinos, les salles de jeux automatiques et les bureaux de paris;
2° les centres de bien-être, en ce compris notamment les saunas, les jacuzzis, les cabines de vapeur et les hammams;
3° les discothèques et les dancings;
4° les salles de réception et de fêtes, sauf pour l'organisation des repas après les enterrements et les crémations;
5° les parcs d'attraction;
6° les plaines de jeux intérieures;
7° les salles de bowling;
8° les fêtes foraines, les marchés annuels, les brocantes, les marchés aux puces, les marchés de Noël et les villages d'hiver;
9° les piscines;
10° les foires commerciales, en ce compris les salons;
11° les cinémas.


Cependant, par dérogation à ce qui précède, peuvent rester ouverts :
1° les aires de jeux extérieures;
2° les espaces extérieurs des zoos et des parcs animaliers, des parcs naturels et des musées en plein air, en ce compris l'entrée, la sortie, les facilités sanitaires et les locaux de premiers soins et de secours;
3° les bibliothèques;

4° les bâtiments de culte et les bâtiments destinés à l'exercice public de l'assistance morale non confessionnelle;
5° les parties extérieures des infrastructures sportives pour faire du sport individuellement;
6° les pistes équestres couvertes dans les manèges
et les hippodromes, et ce uniquement pour le bien-être de l'animal;
7° les lieux culturels, mais uniquement pour :

  • l'accueil des groupes d'enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis, dans le cadre des activités scolaires et extrascolaires de l'enseignement obligatoire;
  • l'accueil des stages et activités organisés pour les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis;
  • les membres du personnel dans le cadre de leurs activités professionnelles;

8° les salles de sport et les infrastructures sportives, mais uniquement pour :

  • pour autant qu'il ne s'agisse pas d'une piscine, l'accueil des groupes d'enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis, dans le cadre des activités scolaires et extrascolaires de l'enseignement obligatoire;
  • pour autant qu'il ne s'agisse pas d'une piscine, l'accueil des stages et des camps sportifs organisés par les autorités locales pour les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis;
  • les entrainements des sportifs professionnels;
  • les compétitions professionnelles;
  • d'autres activités que des activités sportives, pour autant qu'elles soient autorisées par les dispositions du présent arrêté et les protocoles applicables.

2. Activités sportives

Les activités sportives pour les professionnels restent possibles : compétitions et entraînements uniquement sans public, à l’intérieur et à l’extérieur. Pour les amateurs, les compétitions et entraînements restent uniquement pour les -12 ans, en présence d’un parent maximum, uniquement à l’extérieur.

3. Jeunesse

Les camps, stages et activités sans nuitée, ainsi que les activités dans les plaines de jeux sont autorisés pour les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis, conformément au protocole applicable.
Ces camps, stages et activités peuvent être organisés pour un ou plusieurs groupes de maximum 50 enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis comprenant les participants et les encadrants. Les personnes rassemblées dans le cadre de ces camps, stages et activités, doivent rester dans un même groupe et ne peuvent pas être mélangées avec les personnes d'un autre groupe.
Les encadrants respectent dans la mesure du possible les règles de distanciation sociale, en particulier le maintien d'une distance de 1,5 mètre entre chaque personne et sont obligés de se couvrir la bouche et le nez avec un masque ou toute autre alternative en tissu.

Ces mesures s'ajoutent aux mesures déjà existantes:

Le télétravail reste la règle, pour les fonctions qui s’y prêtent et dans le respect de la continuité de la gestion des entreprises et organisations, services et activités. Contrairement à ce qui avait été prévu au printemps, il ne s'agit pas d'une obligation stricte. Une certaine marge de manoeuvre est laissée aux employeurs et des retours bien organisés au bureau et dans le respect des règles sanitaires peuvent être planifiés.

Les cafés et restaurants sont fermés pour une période de quatre semaines. Le retrait sur place de plats à emporter reste possible jusqu’à 22h00. Les lieux du secteur socioculturel et sportifs tels que les théâtres, les centres culturels, les clubs sportifs, etc... qui proposent des repas et des boissons sont également visés par l'obligation de fermeture de leur restaurant, buvette ou espace bar.


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Fichiers :

04-11-2021 - 798 lectures

Mots-clés : Coronavirus

Etant donné l'aggravation de la situation sanitaire à Bruxelles, les 19 bourgmestres bruxellois et le ministre-président de la Région ont pris de nouvelles mesures pour lutter contre la propagation du Covid-19. Les mesures prescrites par l'arrêté du Ministre-Président de la Région bruxelloise sont d’application du 26 octobre 2020 jusqu’au 19 novembre 2020 inclus.
 

Voici les nouvelles règles en Région de Bruxelles-Capitale qui ont un impact pour notre secteur :

1. Fermeture des salles de sport et infrastructures sportives

Les salles de sport et les infrastructures sportives sont fermées, sauf :

1° pour l'accueil des groupes scolaires, dans le cadre des activités scolaires et extrascolaires de l'enseignement obligatoire ;
2° pour l'accueil des stages organisés pour les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis ;
3° pour les entrainements sportifs organisés pour les enfants jusqu'à 12 ans accomplis ;
4° pour les entrainements des sportifs professionnels ;
5° pour les compétitions professionnelles.

2. Fermeture des lieux accueillant des activités culturelles, festives, folkloriques ou récréatives

Les lieux accueillant des activités à caractère privé ou public de nature culturelle, festive, folklorique ou récréative sont fermés au public sauf:

1° pour l'accueil des groupes scolaires, dans le cadre des activités scolaires et extrascolaires de l'enseignement obligatoire ;
2° pour l'accueil des stages organisés pour les enfants jusqu'à l'âge de 12 ans accomplis ;

Les parcs et plaines de jeux pour les enfants de moins de 12 ans accomplis restent ouverts.

3. Activités sportives

Toutes les compétitions sportives amateur sont interdites. Les compétitions sportives professionnelles se déroulent à huis clos.

Les entraînements sportifs amateur en groupe sont interdits sauf pour les enfants jusqu’à l’âge de 12 ans accomplis. Un seul accompagnant par enfant est autorisé à assister à l’entraînement.

4. Rassemblements et mouvements de jeunesse

Les voyages scolaires, les activités dans le cadre de mouvements de jeunesse à partir de 13 ans, les activités de type « porte à porte » et de démarchage, quelle que soit leur nature, sont également interdits.

Les camps et les stages d’automne organisés pour les enfants jusqu’à 12 ans accomplis sont toutefois autorisés.

Les manifestations de maximum 100 personnes sont autorisées sur la voie publique dans le respect de plusieurs conditions : qu’elles soient statiques, que la distanciation physique soit respectée, et qu’elles aient été préalablement autorisées par les autorités communales compétentes.

5. Port du masque

Le port d’un masque couvrant le nez et la bouche est obligatoire pour toute personne âgée de 13 ans et plus dans les lieux publics et dans les lieux privés accessibles au public sur l’ensemble du territoire de la Région de Bruxelles-Capitale.

6. Fermeture des commerces à 20h00

Les magasins d’alimentation et tous les autres commerces ferment à 20.00 heures. L’accès aux commerces est limité à maximum 1 client par 10 mètres carrés pendant une période de maximum 30 minutes.

Toutefois, un adulte peut être accompagné des mineurs vivant sous le même toit ou peut accompagner une personne ayant besoin d’une assistance.

La consommation d’alcool dans l’espace public sur tout le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale est interdite.

7. Couvre-feu entre 22h00 et 06h00

Interdiction de se trouver sur la voie publique ou dans les espaces publics entre 22h00 et 06h00 sauf cas de force majeure et pour les déplacements : motivés pour raisons médicales urgentes (en ce compris pour les urgences vétérinaires), par une situation de violences conjugales ou intrafamiliales, destinés à fournir une assistance ou des soins urgents, professionnels ou dans le cadre de stages en ce compris le trajet domicile-lieu de travail.


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13-01-2021 - 467 lectures

Mots-clés : Coronavirus

Afin de venir en aide aux secteurs qui n’ont pas encore pu reprendre leurs activités suite aux mesures du Conseil National de Sécurité ou qui sont encore fort impactés par les mesures visant à limiter la propagation du Covid-19, la Région de Bruxelles-capitale a mis sur pied une nouvelle prime d’aide aux organisations culturelles et créatives à caractère non lucratif. Sous certaines conditions, elles peuvent bénéficier d’une prime de 4.000 €. La demande de prime doit être introduite au plus tard le 23 novembre 2020.
 

Montant de la prime ?

L'aide prend la forme d'une prime unique de 4000 euros.

Qui peut bénéficier de la prime ?

Toute structure du secteur culturel et créatif bruxellois de 0 à maximum 5 équivalents temps plein (ETP) organisée sous la forme d’une entreprise à but non lucratif et relevant d’un code NACE repris dans la liste, qui:
  • dispose d’au moins un siège d’exploitation sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale ;
  • est touchée par la crise causée par le COVID-19 en ayant subi des pertes de recette affectant le résultat annuel et la capacité à faire face aux frais fixes
  • ne pourra pas avoir débuté une procédure de mise en faillite ou liquidation avant mars 2020 ;
  • ne peut pas présenter de bénéfices reportés ou de réserves non affectées au bilan 2019 supérieurs à 5.000 €.

La prime sera octroyée sur demande expresse de l’organisation auprès de Bruxelles Économie Emploi.

L’aide n’est octroyée qu'une seule fois à un même demandeur et n’est pas cumulable avec une autre prime de la Région de Bruxelles-Capitale, de la Flandre ou de la Wallonie dans le cadre de la crise COVID ou de moyens issus du fonds d’urgence de la Fédération Wallonie-Bruxelles, du fonds d’urgence de la communauté flamande ou celui de la communauté germanophone.

Rappel : Une entreprise ne peut recevoir qu’un maximum de 200.000 € d’aides « de minimis » au cours de l’exercice fiscal en cours et des deux exercices fiscaux précédents, en vertu du règlement (UE) n° 1407/2013 de la commission du 18 décembre 2013.

ATTENTION: Les organisations culturelles et créatives qui ont déjà bénéficié de la prime "Covid-19 Culture" de 2.000 € en été 2020 ne doivent plus, et ne peuvent plus, introduire une nouvelle demande. Une prime de 2.000 € leur sera automatiquement versée sur leur compte bancaire (pour arriver ainsi à un montant total de 4.000 €).

Demande de la prime

Le formulaire de demande sera accessible à partir du 4 novembre 2020 et devra être introduit au plus tard le 23 novembre 2020.

Le formulaire devra obligatoirement inclure les annexes suivantes :

  1. une attestation bancaire relative au compte de votre entreprise (nom de l’entreprise et n° de compte)
  2. une photo de la carte bancaire liée au compte à vue de l’entreprise (format jpeg)
  3. une photo recto-verso de la carte d'identité du signataire de la demande (format jpeg)
  4. Une déclaration sur l’honneur (à compléter via un formulaire sur le site à partir du 04/11) attestant:
    • être touché par la crise causée par le COVID-19 en ayant subi des pertes de recette affectant le résultat annuel et la capacité à faire face aux frais fixes
    • être organisé sous la forme d’une entreprise à but non lucratif
    • ne pas recevoir d’autre prime de la Région de Bruxelles-Capitale, de la Flandre ou de la Wallonie dans le cadre de la crise COVID ou de moyens issus du fonds d’urgence de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la communauté flamande ou germanophone
    •  employer entre 0 et maximum 5 ETP 
    • ne pas disposer d’un bénéfice reporté ou de réserves non affectées supérieurs à 5.000 € au bilan 2019 (joindre si possible une copie des comptes et bilans 2019 déposés au greffe du tribunal de commerce)
    • ne pas avoir débuté une procédure de mise en faillite ou liquidation avant mars 2020 

La vérification des critères d’octroi se base sur les données reprises à la Banque-Carrefour des entreprises. Il faut donc vérifier que celles-ci soient bien à jour.


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26-04-2021 - 838 lectures
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