Le 9-02, la police investissait les locaux du Globe Aroma à Bruxelles, interrompait une activité socioculturelle et arrêtait 7 personnes ne pouvant présenter de documents d’identité.
Comme l’écrivaient les signataires de la carte blanche du CIRÉ, nos organisations ne peuvent devenir les souricières du Gouvernement fédéral dans sa lutte contre les personnes sans papiers.
Ces personnes, en grande précarité le plus souvent, doivent pouvoir garder un accès libre et serein à nos structures d’aide, de soins ou socioculturelles et, singulièrement aux structures organisées pour les soutenir.
La CESSoC s'associe à l'indignation soulevée par cet événement.
Elle rejoint les opinions exprimées dans la carte blanche du CIRÉ et le communiqué produit par les concertations culturelles et artistiques (voir lien plus loin), dont l'ACC qui représente les Centres culturels au sein de la CESSoC.
Elle engage le Gouvernement fédéral à cesser ces actions qui empêchent certaines personnes déjà stigmatisées de bénéficier de l'aide ou des actions de cohésion sociale organisées aussi à leur intention.